Au sommet d'une haute colline, une grande maison en pleine nature, logée à l'extrémité d'une ligne de crête, à 60 km de la chaîne des Pyrénées, face au mont Vallier, référence commune aux toulousains lorsqu'ils ont les yeux sur la montagne. Cela seul suffirait à exprimer le charme profond des lieux.
Il n'est pas impensable de considérer tout d'abord les choses par le petit bout de la lorgnette et de tendre l'oreille. De la mare montaient des cris à avaler toute l'eau autour des herbes, des bruits de torsions s'avéraient propres à faire craquer les branches. Difficile de savoir ce qui se tramaient ; l'atmosphère s'imbibait d'une passion pas ordinaire. Les voix semblaient se rejoindre, des états d'âme pressants se bousculaient, les arpèges fusaient, les aigus agressifs bousculant les graves débonnaires.
Des passions se révélaient dans un ciel serein mais intrigué. Jours et nuits étaient dévolus à d'étranges quiproquos. Qui prolongeait l'écoute naviguait sur des flots houleux et traversait des tempêtes.
Qui n'est pas venu à chaumarty au moment du festival ds grenouilles, ne connaît rien aux surprises de la campagne. Cette litanie aux accents incisifs est un bon résumé de la vie organique, de ces espaces étonnants qui s'ouvrent et se déploient jusqu'aux Pyrénées. Ici on a l'impression de rouler au plus près de la nature. On est tombé dans une vraie fête. Les herbes bousculaient de la mare s'entendaient aussi à fêter notre venue.
A l'arrière de la maison, une fenêtre sur les tuiles, au bout, deux chevaux, mère et fils, poil noir et scintillant au soleil ; plus loin, plus âgé, l'âne un peu à l'écart, distrait, philosophe, le hainent court, goguenard mais sans exagération.
Violaine et Stefano veillent, tantôt l'un ou l'autre officie, sur la pelouse, autour de la piscine au près de la nouvelle maison.
Rire et sourire; chaleureux et communicatifs, la médiation avec les lieux se déploie dans le bonheur. Un problème naîtrait qu'ils le résoudraient aussitôt. Mais ici, tout être, humain, animal ou végétal, joue sa partie de l'équilibre général, bienfaisant. L'harmonie règne.
Un lieu à ne pas manquer, une maison qui vous touche au coeur, des hôtes à la présence toujours attentionnées, un gîte où le mot "revenir" rôde sans cesse entre les mûrs, se lit sur les lèvres ou se découvre avec les yeux. Grâce en soit rendue à nos deux hôtes qui gouvernent en véritables magiciens de l'accueil avec la sincérité profonde portée par leur sourire.
Jacques.
Je complèterai très modestement ce texte en soulignant la beauté particulière de ce site. Un grand merci à nos hôtes.
Nicolas.
Harmonie, c'est le mot que je retiendrai à la fois pour le lieu et les hôtes si accueillants. Merci de cette présence.
Joséphine.
Merci pour ce lieu accueillant, pour votre gentillesse et votre humour. J'aimerais vous dire à bientôt mais vous êtes loin de Paris.
Chantal
Qui n'est pas venu à chaumarty au moment du festival ds grenouilles, ne connaît rien aux surprises de la campagne. Cette litanie aux accents incisifs est un bon résumé de la vie organique, de ces espaces étonnants qui s'ouvrent et se déploient jusqu'aux Pyrénées. Ici on a l'impression de rouler au plus près de la nature. On est tombé dans une vraie fête. Les herbes bousculaient de la mare s'entendaient aussi à fêter notre venue.
A l'arrière de la maison, une fenêtre sur les tuiles, au bout, deux chevaux, mère et fils, poil noir et scintillant au soleil ; plus loin, plus âgé, l'âne un peu à l'écart, distrait, philosophe, le hainent court, goguenard mais sans exagération.
Violaine et Stefano veillent, tantôt l'un ou l'autre officie, sur la pelouse, autour de la piscine au près de la nouvelle maison.
Rire et sourire; chaleureux et communicatifs, la médiation avec les lieux se déploie dans le bonheur. Un problème naîtrait qu'ils le résoudraient aussitôt. Mais ici, tout être, humain, animal ou végétal, joue sa partie de l'équilibre général, bienfaisant. L'harmonie règne.
Un lieu à ne pas manquer, une maison qui vous touche au coeur, des hôtes à la présence toujours attentionnées, un gîte où le mot "revenir" rôde sans cesse entre les mûrs, se lit sur les lèvres ou se découvre avec les yeux. Grâce en soit rendue à nos deux hôtes qui gouvernent en véritables magiciens de l'accueil avec la sincérité profonde portée par leur sourire.
Jacques.
Je complèterai très modestement ce texte en soulignant la beauté particulière de ce site. Un grand merci à nos hôtes.
Nicolas.
Harmonie, c'est le mot que je retiendrai à la fois pour le lieu et les hôtes si accueillants. Merci de cette présence.
Joséphine.
Merci pour ce lieu accueillant, pour votre gentillesse et votre humour. J'aimerais vous dire à bientôt mais vous êtes loin de Paris.
Chantal
